Ton sourire édenté
Me captive à la folie,
Caché sous ton voile effiloché,
Les vers fourmillants,
Des creux que jadis étaient tes yeux,
Me séduisent décidément.
La puanteur de tes ossements,
M'excitent sans remède,
Fatigué suis-je de t'attendre,
Et que tu m'ignores,
Je n'ai marre de voler à la vie,
Chaque jour, un jour de plus,
Acquittons-nous de cette dette,
Mettons-nous à jour,
N'aies pas peur. ! Possède-moi !
Je t'ai toujours appartenu.. !